
Une sanction qui fait suite à un contrôlé positif à un stimulant (méthylhexanéamine ) lors du Grand Prix de France en mai 2012. S’il avait été suspendu un mois par la Fédération internationale de motocyclisme l'an dernier, l’agence mondiale antidopage (AMA) a estimé que l'Australien méritait deux ans de suspension comme prévu par le Code mondial antidopage et fait appel devant le TAS.
Le TAS a fixé le début de la sanction au 20 mai 2012, date à laquelle le pilote avait subi ce contrôle antidopage. Tous ses résultats ont été annulés (dont deux podiums et 15e place au classement général) jusqu'à la fin de la suspension, qui s'achevait donc normalement mercredi.