Reportage publié le 21 avril 2019

Raid Suricates - A la découverte de l'Algérie!

Texte de David Zimmermann / Photo(s) de Pro-Raids, SRA / Vidéo(s) de SRA

Derrière ce nom à connotation sympathique ne se cache pas la course d’école de votre petit neveu, mais la première édition d’un grand raid de neuf étapes dans le désert algérien. Créé entre autre par SRA, l’association qui organise depuis 15 ans le Raid Passion Désert au Maroc, c’est le tout premier grand évènement étranger « hors compétition » réunissant près de cent véhicules organisé en Algérie depuis belle lurette.

2019, le grand retour de l’Algérie dans le monde du Rallye Raid ?

Etape incontournable des dix premières éditions du Paris-Dakar, L’Algérie a sombré au début des années 90 dans une dramatique guerre civile qui a duré une décennie et fait des milliers de victimes.

Ce n’est que tout récemment, en 2015, que le pays s’est à nouveau ouvert aux amateurs de sports motorisés avec le Sahari Rallye, une course nationale qui attire également nombre de participants étrangers. 

En 2019, alors que le pays semble être à l’aube d’un changement politique, qui espérons-le soit bénéfique au peuple, l’Algérie accueille pour la première fois à nouveau de grands évènements d’organisations étrangères avec le Raid Suricates en janvier et le Tuareg Rallye en mars. 

Face au Maroc, qui depuis le printemps arabe s’est taillé la part belle du gâteau, si ce n’est même tout le gâteau des évènements tout-terrains grâce à sa stabilité politique et sa sécurité, il faut dire que l’Algérie a également de sérieux arguments à faire valoir pour susciter l’intérêt des adeptes de sports mécanisés en quête de découverte et d’aventure : 

Plus grand pays d’Afrique, l’Algérie possède également le plus grand désert au monde, le Sahara, qui recouvre 84% de sa superficie. Imaginez un terrain de jeu désertique et quasiment inhabité qui fait trois fois la taille de la France ! 

Sueurs froides avant le départ…

Il va sans dire qu’organiser un tel évènement en Algérie relève du chalenge plutôt corsé. Le Raid Suricates a nécessité les efforts conjoints de l’association Sud Raid Aventure, de l’agence Pro-Raids, de la société Owaka ainsi que d’une agence touristique locale. Les reconnaissances ont été faites sous escorte policière et il a fallu se battre avec une administration dotée d’une bureaucratie procédurière à faire mouiller la culotte du plus soviétique des fonctionnaires russes !

Les visas ne furent acceptés et délivrés que deux jours avant le départ… Etant le seul participant à avoir déposé ma demande à l’ambassade de Berne, qui n’était vraisemblablement pas au courant que celle de Genève a déjà délivré les visas, je dois moi-même me charger de leur demander d’appeler le consulat algérien pour finalement récupérer mon passeport in extrémis le jour avant mon vol !

A l’aéroport d’Alger, je saute dans un taxi avec Christian et Thomas deux compatriotes suisse-alémaniques habitués des Raids SRA. Le chauffeur nous promet une course gratuite si on lui change cent euro chacun. Ça sent l’arnaque à plein nez, mais on accepte, puisque son taux est meilleur que celui pratiqué à l’aéroport. De nuit sur l’autoroute, sans phares, il se fraye un chemin dans un trafic dense et chaotique par la voie d’arrêt d’urgence. Son taxi, non-officiel bien évidemment, ne fera pas long feu avant de se faire arrêter par des policiers à moto. Après s’être affranchi du bakchich de rigueur qui fini directement dans la poche du flic ripoux, on doit tous sortir de la vieille Peugeot pour la démarrer à la poussette, sur la bande d’arrêt d’urgence. La situation est ubuesque ! 

A l’hôtel, je reconnais quelques participants mais aussi une grande partie des membres de SRA, rencontrées lors du Raid Passion Désert en 2016. 

Le lendemain matin, nous partons pour une liaison en bus de sept heures en direction de Laghouat sous une pluie battante… Et dire que deux malheureux qui se sont farcis le trajet à moto… 

Cap plein sud

Le départ en grandes pompes du Raid Suricates est donné depuis le stade de Laghouat avec la participation de la télévision algérienne et sous la supervision de la garde nationale et de l’armée. La sécurité n’est pas prise à la légère, avec plus de 3’000 policiers et militaires engagés sur l’évènement ! Nous sommes 20 motos, 2 quads, 14 RZR et 20 équipages en 4x4. Ajoutez à cela encore une bonne vingtaine de véhicules de l’organisation et vous obtenez un groupe de près de 150 personnes.

La première étape de 320 km nous amène à SebSeb où je passe la nuit la plus glaciale de ma vie dans le premier bivouac. Ayant jugé superflu de déballer ma tente, principalement par flemmardise, je dors à la belle étoile tout habillé dans mon sac de couchage totalement inadapté pour ces températures. Je peine à fermer l’œil et je suis réveillé avant même l’appel à la prière du matin. 

A El Menia, après une étape de 320 km, j’apprécie grandement le luxe de dormir au chaud à l’hôtel et de pouvoir prendre ma première douche chaude en trois jours. 

Ces deux premières étapes furent bien roulantes et pas trop techniques, ce qui constituait de parfaits préliminaires pour moi qui n’avait plus roulé depuis le Rallye des Pionniers en octobre dernier. Ma première impression de l’Algérie est un sentiment d’immensité, encore exacerbé par la monotonie de ces grands plateaux désertiques. On peut rouler pendant une éternité sans voir la moindre trace de construction humaine. C’est absolument jouissif d’avoir tout ça rien que pour soi, surtout sachant que quoi qu’il arrive, il y a l’assistance derrière nous…

En général, sur ce genre d’évènement, seuls quelques points GPS sont fournis et la navigation se fait, comme sur un vrai rallye, au moyen du roadbook et des instruments de navigations. Comme il s’agit d’une première en Algérie, SRA a décidé de nous fournir les traces complètes, afin de limiter les risques dans un pays qui possède des étendues désertiques immenses, mais également un réseau hospitalier moins développé que le Maroc. Mes bonnes résolutions d’utiliser prioritairement le roadbook papier pour améliorer mon niveau de navigation se volatiliseront dès le premier jour.  Trop de doutes et d’imprécisions du roadbook me feront suivre la trace GPS fournie par SRA et garder un œil sur le roadbook juste à titre indicatif. 

Niveau sécurité, l’organisation a également pris toutes les précautions. Chaque participant est équipé d’une balise Owaka permettant de nous localiser en temps réel mais également de déclencher une alarme en cas d’accident. Deux 4x4 médicaux sillonnent la piste dans nos traces.

Des dunes à pertes de vues

Depuis El Menia où nous restons deux jours dans le même hôtel, nous attaquons notre première étape de dunes, longue d’une centaine de kilomètres. Avec ma KTM 690 Rally Replica qui accuse 40 kg à sec de plus sur la balance que les enduros des autres concurrents, il serait prétentieux de vous cacher mon appréhension... 

Une fois les premiers cordons de dunes passés, je me rends compte qu’en fait ça se passe plutôt bien et au fur et à mesure des kilomètres je prends confiance et surtout de plus en plus de plaisir à « surfer » sur les dunes. 

Pour éviter de se planter dans le sable mou, il faut être généreux avec la poignée de gaz, ne jamais s’arrêter, mais également choisir les bonnes trajectoires. Aujourd’hui, je fais équipe avec Julien en suivant sa trace. L’étape de cent kilomètres est rapidement bouclée et à 15h30 on est déjà de retour à l’hôtel, même pas fatigué ! 

Pour la petite anecdote, Julien c’était le chat noir du Raid Passion Désert 2016. Après la casse du moteur neuf de sa KTM Rally Replica 450 le premier jour, la casse après quatre jours du moteur d’une moto prêtée par un concurrent, il prend place comme passager dans un RZR qui termine la journée détruit après une série de tonneau… Le pilote est sérieusement blessé et lui s’en sort « presque » sans une égratignure… 

Malgré la rapide chute de température dès le coucher du soleil, l’ambiance est plutôt à la fête dans la cour de l’hôtel avec un grand apéro offert par SRA avant le souper. 

Navigation au Cap

La 4ème étape (340 km) qui s’enfonce dans le Grand Erg Occidental offrait la particularité, après une première partie de dunes, d’offrir une section de 50 km à naviguer au cap. Grosso modo, il s’agit de rejoindre un point GPS en naviguant en ligne droite, le but étant de faire le minimum de kilomètres. En théorie ça parait simple, rouler en suivant le cap 145° du GPS, mais bien entend, on trouve quelques chaines montagneuses pile dans la trajectoire, histoire de corser un peu la chose. C’est le genre de chalenge que j’aime bien, et en voulant jouer le jeu à fond, je me suis retrouvé tout seul coincé dans une section avec d’énormes cailloux en bien fâcheuse posture. 

L’étape fut longue et éprouvante, mais la vue du joli hôtel à Timimoune, a tôt fait de me requinquer. Manque de bol, le camion qui transporte tous nos sacs a eu un problème mécanique et on devra patienter quelques heures avant de pouvoir récupérer nos affaires. 

Pour vous donner une idée de l’immensité de l’Algérie, Timimoune, point le plus au sud de notre Raid ne se situe même pas encore au milieu du pays. Il reste plus de 1'000 km à vol d’oiseau jusqu’à la frontière avec le Mali ! Dire que durant les années d’or du Dakar, le pays était entièrement traversé du nord au sud avec des étapes pouvant atteindre 800 km ! 

L’hôtel se trouve à seulement quelques tours de roues d’une magnifique et verdoyante oasis qui borde le Grand Erg Occidentale, un champ de dunes à pertes de vue. 

L’organisation n’ayant pas reçu l’autorisation de le traverser, la 5ème étape de 380 km sera principalement routière. Ça râle un peu dans les rangs, mais entre-nous, après mes galères d’hier, je n’étais pas fâché de me la couler un peu plus douce aujourd’hui…

Pour la première fois, on passe au travers de nombreux villages où nous attendent pleins d’enfants super enthousiastes, c’est vraiment touchant. 

Arrivé à Beni Abbès, on installe le bivouac au pied même d’immense dunes. Le décor est magnifique, mais la nuit est à nouveau glaciale. Yves, le boss de SRA nous gratifie d’un moment mythique en prenant le micro à l’heure du traditionnel briefing et annonçant qu’il a été pris dans un guet-apens et qu’il est pété comme une cantine ! 

130 kilomètres de dunes !

La sixième étape, la plus impressionnante du Raid Suricates, a été reprise de l’édition 2018 du Sahari Rallye. Des dunes à pertes de vues pendant près de 130 km ! 

Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup d’endroits sur terre où il soit possible de faire autant de kilomètres consécutifs dans des dunes. A titre de comparaison, c’est quasiment trois fois plus que les fameux cordons de dunes d’Erg Chegaga, au Maroc ! 

 En dépit de quelques plantages quand le courage manquait pour garder la poignée de gaz ouverte à coin au sommet des grandes dunes où l’on ne sait pas quoi attendre de l’autre côté, je m’en sors bien et termine l’étape sans soucis.

Pour la première fois, je dois m’attaquer à quelques tâches mécaniques, dont le changement du mousse avant avec l’aide de mes compatriotes qui maitrisent le sujet.  Il faut dire qu’il arrivait vraiment au bout, ayant déjà fait le Raid Passion Désert en 2016.

La routine du Raid

Les premiers jours du Raid sont rudes, parce qu’il faut se mettre dans le rythme. Après six jours sur les cale-pieds, je commence à être rodé à ma routine quotidienne qui consiste à me lever le plus tard possible, enfiler ma combinaison de tortue ninja sale et (mal)odorante, courir au parc fermé pour installer le road book que j’aurais dû mettre la veille et enfin, si le temps le permet, rafler quelques pâtisseries au buffet du petit déjeuner avant de me pointer dans la file de départ… 

Les départs se font en fonction de la file d’attente. Ceux qui sont prêts tôt partent en premier. Je pars donc invariablement dans le peloton de queue... 

Après une petite mise en bouche d’une cinquantaine de kilomètres, quelques biscuits et des boissons chaudes nous attendent au Check Point Café.

On enchaine sans pause jusqu’au prochain Check Point où l’on reçoit notre sac repas, qu’on mange accompagné d’une bonne dose de sable à cause du vent qui n’arrête pas de souffler. L’orga nous chouchoute et parfois on a même la surprise d’un repas chaud ! 

On reprend rapidement la piste et une fois l’étape terminée, au choix c’est soit monter la tente ou si l’on est à l’hôtel, profiter de prendre une douche, manger des frites et boire une bière à l’irremplaçable baraque à frites de Patrick, présent sur tous les Raids SRA. Certains on pas mal de mécanique le soir, comme Aurélien avec qui je partage la chambre. Il a des soucis avec son quad et passe la moitié de la nuit avec les mécanos à réparer pour repartir le lendemain. Pour les autres c’est briefing, puis souper et au lit.

La septième étape de 340 km nous amène à Aïn Ouarka, où nous dormons en bivouac dans un cadre idyllique au bord d’un lac d’où l’on repart le lendemain matin avec une température des plus faible jusqu’à Brezina, situé à quelques 280 km. Même avec deux couches de sous-vêtement thermique, une veste et un coupe-vent j’ai froid le matin, c’est dire !

Premier pépin mécanique pour ma poire, j’ai perdu une des vis qui tient la tour de navigation. Je peux compter sur un des gars de l’assistance en 4x4, Alain, qui a exactement ce qu’il me faut dans son stock de pièces et je peux repartir après quelques minutes. La fin de l’étape sera une des plus difficile du raid. Une traversé de dunes au sable hyper mou accompagné d’une tempête de sable. Je me plante à plusieurs reprises et j’ai même la roue avant qui s’enfonce jusqu’au moyen ! Par chance, je vois plusieurs motards arriver et je me contente de suivre leurs traces jusqu’à Brezina. 

On dort en bivouac pour la deuxième nuit d’affilé dans un décor qui n’est pas sans rappeler Monument Valley aux USA. C’est absolument magnifique, mais je dois avouer que j’en ai plein les bottes du bivouac… Il fait vraiment trop froid. 

Ce soir, Yves, le boss de SRA fête ses 69 ans. Quelle énergie et quelle santé il a le petit bonhomme à la tête de l’association depuis 30 ans, ça fait rêver ! 

La dernière étape de 240 km qui nous ramène à Laghouat ne devait être qu’une formalité, et pourtant ce fut la plus dangereuse. A cause de plusieurs ravines profondes non signalées sur le road book, nous sommes plusieurs à chuter. Frédéric se déboite l’épaule juste avant le CP café, et Aurélien se prend également une belle volée en quad au même endroit. Pour ma poire ça sera une centaine de kilomètres plus tard, sur une série de trois ravines. Impossible d’éviter la chute, je les vois trop tard. Je me fais expulser de la moto, et je glisse sur plusieurs mètres sur mon flanc... Un peu sonné et bien endolori, je me relève en me disant que j’ai de la chance, je m’attendais à bien pire quand j’ai senti que je perdais le contrôle. 

Des militaires postés avec leur voiture à moins de 30 mètres accourent pour voir comment je vais, et quelques minutes plus tard, l’assistance s’arrête. J’ai mal, mais rien de grave. Ma moto est bien amochée, mais on peut la remettre en état de rouler. Je termine l’étape par la route, assis de travers sur la selle, pour soulager ma hanche gauche, le tout avec une escorte militaire jusqu’à Laghouat ! 

La première édition du Raid Suricates se termine sur une note très positive. Pas d’accident graves, pas de gros pépins et des participants qui, malgré la fatigue des étapes cumulées, affichent une mine radieuse, derrière une bonne couche de poussière. Ce fut une magnifique expérience humaine et motoristique et j’espère de tout cœur que dans les années à venir l’Algérie va continuer à s’ouvrir davantage à ce type d’évènements, car le potentiel est immense. 

Ici, vous trouverez la vidéo du Raid Suricates.

Le Budget du Raid Suricates 2019

  • Frais d’inscriptions moto : € 1'984.-
  • Transport de la Moto Mazan-Laghouat-Mazan : € 380.-
  • Assurance véhicule Algérie : € 25.-
  • Bus Alger-Laghouat-Alger : € 95.-
  • Vol Genève-Alger-Genève : environ € 200.-
  • Visa d’entrée pour l’Algérie :  € 85.- pour la France / CHF 70.- pour la Suisse
  • Argent utilisé sur place : € 150.-

Vous trouverez toutes les informations sur le site officiel. Vu l'accueil très positif des participants, il est fort probable que l'année prochaine le Raid Suricate soit reconduit, mais probalbement en automne, pour bénéficier de températures plus agréables.

David
AcidTracks 2019 - Organisation de sorties pistes

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