Ouvrir sa saison au guidon d’un Kawasaki Ninja H2 Carbon, c’était en quelque sorte le cadeau de Pâques offert par l’importateur suisse. Bien que nous ayons déjà roulé cette H2 dès sa commercialisation en 2015, c’est avec un vif engouement que nous avons repris les rennes de cette moto d’exception.
Juste pour le plaisir… des yeux ? Du carbone, une peinture pailletée du plus bel effet, des éléments de suspension "nobles", ... Nous ne nous prononcerons pas plus sur le style si atypique de la Ninja H2. Controversé, c’est sûr. Certains bavent devant, d’autres s’horrifient. Peu importe diront les marketeux, elle fait parler d’elle. Et pas seulement par son style, mais par son exclusivité, tant en termes de performances que mécaniques.
Pour résumer, la Kawasaki Ninja H2 redéfinit la notion d’accélération. A son guidon, c’est une véritable expérience, physique avant tout, mais plus encore, physiologique. Le couple d’une très grosse cylindrée, au hasard une Kawasaki ZZR1400, associé à la puissance « nerveuse » d’une supersportive 1000, une Kawasaki ZX-10R par exemple.
Gaz à fond, aidé par le quickshifter, première, deuxième, troisième (et qui osera, sur route ouverte, quatrième et suivantes), … c’est quelque chose d’indescriptible. Ça vous prend aux tripes, votre vision peine à suivre, votre cerveau déclare forfait… Et votre permis de conduire ? Jocker !
On ne va pas faire de la paraphrase de notre précédent essai. Si vous souhaitez en savoir plus, allez le lire sans attendre !