Reportage publié le 29 mai 2014

Touareg Rallye 2014 - Le récit du team fino-suisse sur 7 jours de folie

Texte de David Zimmermann

Après ma première participation au Touareg Rallye, me voilà à nouveau dans l’aventure avec une moto mieux adaptée et sans assistance pour réduire mes frais. J’ai connu un Finlandais par internet, et on a décidé d’y aller ensemble. Un autre team finlandais se charge du transport de nos motos.

J’ai passé environ 3 mois à préparer ma moto et c’est le jour avant de devoir la livrer que je serre les derniers boulons ! Finir la moto à temps était plus stressant que la participation au rallye elle-même! Je n’ai pas eu le temps de refaire la peinture ni d’enlever les autocollants du précédent proprio, c’est dire ! Il s’agit d’une KTM 450 EXC avec un kit Rallye Meca’System. La moto date de 2006 et a déjà quelques rallyes dans les roues. Elle pèse 140kg à sec contre 160kg pour l’Adventure 640 que j’ai utilisé l’année passée.

Jour 0 - Douz

Le premier jour dans les paddocks, je rencontre beaucoup de personnes que j’ai connues l’année passée, ça discute de moto, ça bricole, tout le monde semble à la bourre pour terminer les préparatifs. Janne et l’équipe de Finlandais arrivent avec leur immense camion 8x8 dans la matinée. Après avoir terminé toute la partie administrative, je peux enfin aller tester ma moto pour la première fois dans les dunes à côté de l’hôtel. Je ne suis pas encore habitué à l’amortisseur de direction, mais les 25kg de moins que ma KTM Adventure se font sentir! Tout semble fonctionner correctement, je suis rassuré. 

Une petite soudure de dernière minute !

Jour 1 - Douz

L’année passée, c’était le jour le plus difficile pour moi et pour une grande partie des amateurs qui n’avaient jamais mis les tétines dans le sable. Ce sont des dunes, des dunes et encore des dunes. Et quand il n’y en a pas, ce sont des pistes de sables mou et profond. L’horreur absolue pour un puceau du désert!

Cette année, les choses commencent bien pour moi.

Ma moto va bien, je suis à l’aise, et j’arrive sans problèmes au CP3, où j’ai abandonné l’an passé. Dans le sable mou, je savoure avec un bonheur indescriptible mon amortisseur de direction. C’est le jour et la nuit de rouler avec, il facilite énormément la conduite et a dû m’épargner une bonne vingtaine de chutes dans la journée. Je comprends enfin ceux qui disaient Cette année, les choses commencent bien pour moi.

Ma moto va bien, je suis à l’aise, et j’arrive sans problèmes au CP3, où j’ai abandonné l’an passé. Dans le sable mou, je savoure avec un bonheur indescriptible mon amortisseur de direction. C’est le jour et la nuit de rouler avec, il facilite énormément la conduite et a dû m’épargner une bonne vingtaine de chutes dans la journée. Je comprends enfin ceux qui disaient que j’étais fou de rouler sans l’année passée. Je termine en 9ème position,  sans aucune pénalité, de quoi booster ma motivation.

Jour 2 - Douz-Gafsa

Le second jour est moins technique, plus long et axé sur la navigation. Tout le campement se déplace de Douz à Gafsa. Les premiers kilomètres sont un enfer absolu, du sable hyper mou, et quand on passe après les voitures et les pros qui ont déjà bien labouré la piste, ça n’arrange pas grand-chose. Mais une fois cette première partie difficile derrière moi, la journée s’annonce plutôt facile d’un point de vue technique. Au niveau de la navigation par contre, ça se complique et je fais plusieurs erreurs qui me font perdre du temps.

Les Finlandais de notre team ayant eu des problèmes qui nécessitèrent un remorquage, il a fallu attendre jusqu’au soir pour que le camion arrive et, enfin, avoir nos affaires, prendre une douche et faire le service sur les motos.

Jour 3 - Gafsa-Nefta

C’est le seul tracé qui est « nouveau » pour moi, puisque l’année passée, suite au décès tragique d’un des concurrents le second jour, nous n’avons pas roulé le 3ème jour.

Le début est un pur plaisir. C’est un lac asséché et le sol est dur et plat sur plusieurs kilomètres. On peut rouler ici les gaz à fond sans prendre de gros risques. A 140km/h, ma moto avait encore de la réserve, mais moi j’aurais eu besoin d’un caleçon de rechange si j’accélérais encore !

La navigation est également difficile aujourd’hui. A plusieurs reprises, je me perds et je retourne en arrière pour trouver le bon chemin. J’ai aussi droit à ma première grosse gamelle, un vol plané par-dessus le guidon et je me fais mal à la cuisse. Heureusement, la moto n’a rien...

Je fais un bout de route avec un autre motard perdu et au moment où l’on est en train de discuter si on devrait tourner à droite ou à gauche, on voit le drapeau d’un check-point secret caché derrière des arbres à quelques centaines de mètres ! Quelle chance ! Il faut savoir que tout check-point manqué représente 2 heures de pénalité et les check-points secrets 4 heures ! Rien ne sert d’aller vite, si on manque un check-point, le retard qu’on accumule est rapidement colossal.

De retour au bivouac, je réalise que j’ai perdu 2 vis qui tiennent la couronne arrière et que les 4 écrous restant sont à moitié desserrés! Les trous sont devenus ovales, ce n’est pas bon du tout ! Mon compatriote Herbert, qui roule avec l’ex-KTM Rallye Replica de Cottet (Pilote Suisse, Dakar 2013) me dépanne et je resserre tout à fond, avec une dose généreuse de Loctite. Ma jambe me fait de plus en plus mal et je n’arrive presque plus à marcher.

Janne me file des antidouleurs pour pouvoir dormir.

Jour 4 - Nefta

Ce matin je n’ai presque plus mal à ma jambe, mais je prends quand même des antidouleurs au cas où. L’organisateur a décidé de doubler la longueur de l’étape pour les motos. Donc 2 tours pour nous, les amateurs et 4 tours pour les pros!

Ça commence pas très bien pour moi. A peine quelques centaines de mètres après le départ, je bute dans quelque chose que je croyais être du sable mou, mais qui était dur. Un petit vol plané par-dessus le guidon et une fois sur mes pieds je réalise que ma moto pisse l’essence ! Le raccord du réservoir arrière gauche a cassé net ! Je peux juste le regarder se vider, et paf, 5 litres de moins…

Si au départ il y a quelques pistes rapides bien sympas, ça passe vite à des kilomètres et des kilomètres d’herbe à chameau, le cauchemar de tous les participants. Pour les voitures, c’est mortel pour les amortisseurs et pour les motards c’est extrêmement fatiguant. L’herbe à chameau, ce sont des milliers de monticules de terre dure avec un peu d’herbe. Il faut donc se faire sa trace et zigzaguer entre deux…

Je me retrouve la plus grande partie du temps en 1ère ou 2ème vitesse et j’avance très lentement. A la fin du premier tour, on passe sur les dunes les plus hautes du Rallye et ça se passe plutôt bien. Je termine le 1er tour en presque 4 heures (A titre de comparaison, le gagnant des pros à fait 6h35 pour 4 tours !) et je tombe sur mon coéquipier Janne, qui est arrivé un peu avant moi et qui décide de ne pas se lancer dans le second tour. Avec sa 950 c’est déjà un exploit qu’il ait réussi à terminer le premier !

Je n’ai plus d’essence et nos gars sont déjà partis… Heureusement, je peux compter sur un autre team finlandais que je connais de l’année passée et qui me dépanne avec 12 litres. Lorsque je me lance dans le second tour, tout va beaucoup mieux pour moi. Je ne suis plus fatigué, j’ai un bon rythme jusqu’au CP1. M’apprêtant à repartir, je réalise avec horreur que la couronne arrière ne tient plus qu’avec 2 vis. C’était une question de 2-3 kilomètres avant que j’aie un très gros problème. Ma première réaction c’est d’abandonner, pour ne pas casser la jante, mais les gars du CP1 me disent que je peux essayer d’aller jusqu’au CP2 par la voie de service.

Les 2 heures de pénalité en moins si j’atteins ce point me motive. Je resserre les vis, et tous les 1-2 km, je m’arrête pour resserrer les écrous.

Plus que 2 vis, ça fait peur à voir ! La Mercedes de nos coéquipiers finlandais.

Depuis le CP2, je peux prendre la route jusqu’à l’arrivée, ça me fera encore 2 heures de pénalité en moins… Je parcours les 16km à 30km/h, en m’arrêtant tous les 2-3km pour contrôler et resserrer les boulons. J’atteins l’arrivée. Malgré mon problème, je suis très content, ça devrait me donner une bonne avance sur tous les concurrents qui ont arrêté après le premier tour.

De retour au bivouac, pas une seconde à perdre, je dois réparer ça. Je trouve un gars qui veut bien me vendre une nouvelle couronne pour 100 euro et je fais la connaissance de Patsy Quick, mécanicienne de Desert Rose Racing qui me fournit les boulons et vis pour la couronne. Pour la petite histoire, Pasty est la première femme britannique à avoir terminé le Dakar en 2006, lors de sa troisième tentative.  

Petite pause méritée avec mon coéquipier finlandais, Janne.

Après avoir réparé la roue, il me faut encore faire une vidange, et nettoyer le filtre à air, remplacer le raccord cassé du réservoir. Je vais manger en vitesse à 21h avant de terminer mes travaux. Finalement à 23h, quand je peux enfin aller voir les résultats c’est la grosse déception. Je suis en 22ème position derrière plusieurs concurrents qui n’ont fait que le premier tour. J’apprendrai par la suite la raison : en abandonnant, on ne reçoit des pénalités que pour les CP officiel manqués. Si l’on va jusqu’à au CP final on reçoit les pénalités des CP secrets qu’on n’a pas visités. Du coup, j’aurais mieux fait de m’arrêter après le premier tour… 

Jour 5 - Nefta-Douz

Aujourd’hui c’est l’étape la plus longue avec plus de 350km, dont une très longue liaison. On retourne à Douz. La première spéciale se passe très bien pour moi, pas trop technique, pas d’erreur de navigation, tout va bien. Malheureusement, ma journée sera très rapidement terminée. Au début de la liaison, je passe devant la première station-service qui n’a plus d’essence et je tombe en panne sèche 500m plus loin. Mes réservoirs avant sont vides. Je switche sur les réservoirs arrière, mais rien à faire. Elle ne veut plus démarrer. Je démonte la selle et les réservoirs et aspire de l’essence dans un tuyau pour la mettre directement dans le carburateur. La pompe à essence est un peu faible lorsque le carbu est vide… Rien  à faire. Je contrôle la bougie… 

Impossible de trouver la panne… En train de discuter des réparations d’Ekaterina.

Plus ou moins au même moment un camion s’arrête à ma hauteur. Un des services teams, des Anglais. Ils me proposent de ramener ma moto à l’hôtel, ce que j’accepte la mort dans l’âme. Sur le camion, la moto de Ekaterina, la petite russe qui roule dans les pros. Cette petite nana avec des bras aussi gros que des cure dents et qui doit faire 45 kg avec les bottes et le casque est classée 5ème au championnat russe d’enduro! Dans la catégorie homme! Elle a eu un gros crash et détruit toute sa tour de navigation. Le road book et le gps sont détruits, mais elle parle déjà de repartir demain si son mécano peut réparer sa moto!

Ma moto arrive en fin de journée, les Anglais sont dans les derniers à arriver au camp. Leur voiture a eu de gros problèmes et la course est terminée pour eux. Après quelques investigations, je pense trouver la cause de mon problème: il y avait probablement de l’eau dans le réservoir. Après avoir rechargé la batterie et purgé le carbu, elle démarre sans problème. C’est vraiment dommage d’avoir dû abandonner pour une panne qui aurait pu facilement être évitée. J’apprendrai par les concurrents que, toute la journée, il y  a eu une tempête de sable qui réduisait la visibilité à néant. Les concurrents ont dû se fier uniquement au système de navigation sur la plus grande partie de la journée.

Jour 6 - Douz

Ce matin on a une drôle de surprise à notre réveil: il pleut, et même beaucoup ! Tout est détrempé, le sable mouillé fait une sorte de boue dans les paddocks… Le ciel est complètement bouché et de fortes rafales de vent viennent rajouter encore un peu de piment. A peine 5 minutes avant le départ, mon GPS s’arrête et je ne peux plus le mettre en marche ! Par chance Sid, un ami anglais, me dit que les gars de son team peuvent m’aider. Ni une ni deux, ils me donnent des piles neuves, mais rien à faire. Je ne peux pas prendre le départ sans GPS… Et là, miracle digne d’une film hollywoodien: leur chauffeur a un GPS de réserve et c’est sur la ligne de départ qu’ils finissent de le fixer sur mon support. Je peux rouler ! Elle est pas belle la vie ?

A cause de la pluie et du vent, la forme des dunes a complètement changé et la partie qu’on ne voit pas est très abrupte. Sid, après quelques kilomètres a fait une grosse chute et doit abandonner. Bien que j’étais parti en dernier à cause de ma panne de hier, rapidement je vois pas mal de monde en difficulté. Mon levier d’embrayage n’a quasiment plus d’effet et je suis obligé de rouler sans. J’atteins le CP1, non sans peine et j’en profite pour rajouter du liquide dans le réservoir de l’embrayage, ce qui devrait me permettre de finir la journée.

A présent, je m’attaque à la section où j’ai dû abdiquer l’année passée, épuisé, sans eau et avec ma moto plantée. Un enfer de dunes à perte de vue. Ça se passe relativement bien au début, le sol mouillé aidant, la moto s’enfonce moins. Au fur et à mesure que les kilomètres défilent, je commence à faire des erreurs; je me retrouve à plusieurs reprises plantées à devoir déterrer ma moto. Et ça c’est le pire, chaque plantage me vide d’une grosse partie de mes ressources. Quand vous roulez dans le peloton de queue, ce n'est presque plus possible de suivre les traces des pistes principales parce que le sable a tellement été brassé, qu’il est hyper mou. Il faut donc faire sa trace à côté.

Pas facile de ressortir la moto quand la roue avant est enterrée !

Difficilement, j’atteins le CP2, et dans les temps ! Il n’y a rien d’héroïque à ça, mais je suis hyper heureux d’avoir réussi à le terminer. C’est ma victoire sur l’année passée. Le décor change du tout au tout jusqu’au CP3. C’est de la caillasse, de la piste dure, des montagnes. Sans le vent et la fatigue, c’est une étape facile. Mais Le vent est tellement fort qu’à plusieurs reprises je suis quasiment projeté à terre. Je fais une grande partie de l’étape avec un des pilotes japonais qui semble aussi crevé que moi. J’ai plus la force de rouler debout.

Enfin de la caillasse pour se « reposer » une peu…

On atteint le CP3 avec 15 minutes de retard et donc on ne peut pas faire la dernière spéciale, et on doit rejoindre l’arrivée par la route. Je n’ai pas trop de regret car jamais je n’aurais réussi à gagner 15 minutes sur cette étape. 90 km de route avec ce p***  de vent et un mal de cul énorme qui me force à essayer toute les positions possibles et imaginables sur la selle… Quand j’arrive finalement à l’hôtel, je suis tellement fatigué que je ne change même pas le filtre à air. Je termine en 12ème position aujourd’hui. Après les mauvais classements des 2 derniers jours, ça fait plaisir.

Jour 7 - Douz

L’étape d’aujourd’hui est très courte et l’organisateur avait décidé hier au briefing de faire 2 tours à la place d’un, mais ce matin au départ on nous informe qu’il y en aura qu’un… Ouf! Il pleut, rapidement je ne vois plus rien et je dois rouler sans masque. S’il ne me restait pas grand-chose comme énergie, un plantage dans une dune finit de m’enlever toutes mes forces.

Je tombe sur une petite Italienne qui est plantée dans une dune et décide de lui donner un coup de main. Elle roule mieux que moi, mais quand elle se plante, elle n’a pas la force pour ressortir la moto. On continue au même rythme et on arrive en même temps au sommet de la dune où se trouve le CP1, en se plantant tous les deux à moins d’un mètre du sommet.

Quand enfin je passe l’arrivée, je me dis que je ne veux plus entendre parler de sable, de rallye ni de motos avant un moment!
Cette seconde participation a été dure, je pense que je m’attendais à ce que ça soit nettement plus facile avec une moto plus légère, mais il me manque énormément de physique et d’entraînement avec la moto. Il va falloir travailler tout ça pour l’année prochaine et essayer de ne pas passer tout mon temps dans le garage à préparer la moto.

La 17ème édition du Touareg Rallye se déroula pour la seconde et dernière fois en Tunisie. Pour différentes raisons (participation en baisse, 60 motos de moins que l’année passée!, variété des paysages, etc) l’organisateur a déjà annoncé que l’année prochaine le Touareg retourne au Maroc. Au lieu de 1300km sur 7 jours ce seront près de 2600km sur 8 jours! 

Les trois Suisses du Touareg / Notre team fino-suisse

Pour les fans de belles images, rendez-vous sur la chaîne youtube du Touareg Rallye 2014.

El Yannou
AcidTracks 2019 - Organisation de sorties pistes

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