
Un, on apprend que l’usine a fermé ses portes, que les entrées et sorties sont bloquées et que les véhicules de fonction (de luxe) ont été confisqués.
Ensuite, on apprend que le Parlement britannique a diligenté une enquête afin de savoir ce que sont devenus les 5 millions de livres d’aides gouvernementales (en plus du million de livres dont Norton est accusé d’avoir fraudé au niveau des cotisations retraite…), ainsi que les 14 millions de fonds de pensions qui ont été investis dans l’entreprise, comme révélé par les investigations récentes faites par The Guardian et ITV News.
Des histoires de (gros) sous et de fraudes qui ternissent chaque jour davantage l’image de la vénérable manufacture britannique.
En attendant, la production est stoppée et les quelques septante employés se retrouvent sans travail, sans être officiellement licenciés.
Dans ce marasme, il reste une question et c’est la suivante : quel repreneur pourrait se pencher au chevet de Norton et racheter la firme ?