
L'association avec le constructeur indien Hero n'aura donc pas suffit à assurer la pérennité du projet d'Erik Buell, ce certainement en raison d'un volume de ventes trop faible, les résultats en WSBK n'ayant pas aidé EBR également.
Erik Buell s'est d'ailleurs exprimé sur cette cessation d'activité : «Le tour qu'ont récemment pris les événements, alors que nous pensions être sortis d'affaire, est inattendu. Nous pensions avoir sécurisé des fonds, mais nous n'avons pas réussi à finaliser notre financement. Par conséquent, nous allons devoir faire de notre mieux dans ces circonstances pour préserver les intérêts de toutes les parties.»
Avec l'arrêt de la production, c'est aussi les 126 employés qui sont licenciés en attendant que l'administrateur Michael S. Polsky mette EBR aux enchères sous la surveillance de la cour d'Etat. Le produit des ventes servira à rembourser les créanciers, sauf si un repreneur se manifeste…