
Plus ou moins, car quelques irréductibles passionnés ont toutefois maintenu le songe à leur manière. On parlera par exemple des allemands Ronax qui, en 2014, ont été les premiers à faire renaitre une étoile dans certains yeux. Et il y avait de quoi… La Ronax 500, cette sportive d’une autre époque cubant quelques 499cm3 avec son quatre-cylindre en V. Un subtil mélange de technologie qui venait se greffer au moteur 2-temps en alu, avec son injection électronique. Mais ce n’était pas que ça la Ronax. C’était également un équipement au top (full Öhlins, Brembo M50, jantes forgées, …) pour une moto homologuée route qui, à 11'500 tours développait quelques 160 poneys… Ouais, c’était tout ça la Ronax 500…
Et puis il y a eu la Suter MMX500, bien de chez nous. Là, on est encore monté d’un niveau. Ok, on ne parle plus d’homologation route, mais en revanche, c’est une véritable machine de course. Là aussi, on retrouve de l’équipement de pointe autour d’un moteur V4 2-temps mais qui cette fois ci, développe la bagatelle de 196 pur sangs pour un poids contenu de 127 kg… De l’électronique de pointe et une esthétique à couper le souffle. Pour peu qu’on la voie dans une robe d’antan, on pourrait croire une vraie machine de GP !
Chez Kardesign, on s’est amusé à prendre ce moteur 2-temps, ou d’antan, et à l’imaginer dans une machine contemporaine, voire futuriste.
C’est comme ça qu’on se retrouve avec des images de ce que pourraient être l’Aprilia RS 250, la Kawasaki KR250, la Suzuki RG250. Et là, on ne parle que des « petites cylindrées ».
Car le coup de crayon talentueux de chez Kardesign a été plus loin. Plus loin comme nous faire voir ce que serait aujourd’hui, selon eux, les mythiques Suzuki RGV500, Yamaha RD500LC ou encore la fameuse Honda NSR500. Et pour ça, on retrouve les pièces des modèles d’aujourd’hui. Que ce soit au niveau du freinage, des jantes, des fourches, ou encore de certaines pièces de carénage, toutes ces parties vous rappelleront quelque chose d'actuel.
Régalez-vous, et appréciez ces images. Ça laisse rêveur et on se dit même : « et pourquoi pas ?... »