
Une solution trouvée, et approuvée par la Direction générale des transports (DGT), est un nouveau type de radar qui lit les plaques d’immatriculation et les compare aux diverses bases de données nécessaires pour différencier les ayants droit des fraudeurs. Une fois cette opération effectuée, si le véhicule est en tort, l’infraction est immédiatement transmise à la police pour dresser contravention.
Ce radar, qui serait le premier de ce type en Suisse romande doit encore recevoir l’aval de l’Etat de Genève, celui de la DGT lui ayant déjà été accordé, son directeur régional, M. Gérard Widmer a d’ailleurs déclaré : "C’est un système plus simple et plus efficace que les bornes rétractables et moins coûteux que les barrages de police".