
Elle présente donc d’un traction control, nommé TCS, qui dispose de 6 modes de sensibilité. Connecté aux roues avant et arrière, le dispositif réagit au patinage de la roue arrière. Combiné avec les trois cartographies d’injection, il offre donc 21 réglages d’injection possibles. De quoi passer de longues heures à trouver le mode adapté à chaque situation. Comme annoncé dans notre précédent article, l’unité de commande du moteur est revue pour plus de douceur de fonctionnement et d’efficacité.
Le té de fourche est dorénavant fabriqué en aluminium coulé et reprend le dessin de celui de la M1 de MotoGP. Il est censé améliorer la rigidité de la moto. Toujours au niveau de la partie-cycle, le grip des repose-pieds change pour une meilleure tenue et un meilleur placement du pied.
Les carénages ont été redessinés pour donner un nouveau look à la R1 tout en améliorant l’aérodynamique. Les échappements sont légèrement affinés afin de donner un air plus compact à la R1. Bon, il y a encore du boulot à ce niveau là…
En bref, tout a été amélioré sur cette R1, mais pas d’informations sur le poids, la puissance etc. Normalement, le tout devrait rester à peu près inchangé, soit 206 kilos tous pleins faits, 182 chevaux et 115 Nm. Inutile de dire que nous attendons l’essai de cette R1 avec impatience! Plus d’informations à Milan!