
Ça serait une divergence sur la conduite des affaires qui aurait mené à cette décision votées par les administrateurs. Ce « coup d’Etat » comme le qualifie la presse, est arrivé quelques jours avant l’assemblée générale des actionnaires qui doit se tenir le 26 juin.
Dans le même temps, Kawasaki a annoncé avoir stoppé les discussions sur la fusion de ses activités de chantiers navals avec son compatriote Mitsui Engineering & Shipbuilding, malgré le fait qu’à eux deux ils auraient pesé un chiffre d’affaires annuel de 13,5 milliards d’euros.
Shigeru Murayama, qui est l’un des directeur général, a été promu en urgence patron du groupe et a révélé que ce fameux projet de fusion avait été monté sans la consultation des autres administrateurs par les trois personnes licenciées.
Pour rester proche de notre secteur du deux-roues, croisons les doigts pour que ce remue-ménage n’ait pas d’influence sur la branche motos de Kawasaki Heavy Industries.