
En effet, ce dernier disposerait de capteurs sous forme d’un câble électrique qui parcourrait l’ensemble du cadre. Lors d’un choc conséquent, ce dernier vibrerait, voir se romprait, lançant ainsi une alarme à une nouvelle unité de contrôle DDCU. Ainsi, le pilote serait informé en temps réel d’un problème lié à sa moto. Ceci permettrait de déceler des fissures, même à l’intérieur du cadre, ce qui à ce jour n’est pas contrôlable sans l’aide d’un scanner. Yamaha pencherait également sur une version optionnel à fibre optique, qui permettrait de mesure les différences entre le cadre et l’araignée et le faux cadre, ce qui permettrait une surveillance encore plus poussée.
Ayant plusieurs cordes à son arc, le constructeur nippon travail également sur un matériau ou peinture qui permettrait au cadre de changer de couleur à l’endroit ou un dommage serait constaté.
Tout ceci est pour le moment en phase de développement, mais il est clair que Yamaha prend une longueur d’avance sur ce type de technologie. Bien évidemment, ceci n’est pas anodin non plus, car si la sécurité est bien évidemment le but premier de ce type de technologie, il reste tout de même une réflexion financière à la clé.