
La Rocket III version Euro5 revient sur le marché helvétique avec les versions R et GT.
Les nombreuses différences ne sont pas seulement d’ordre esthétique, du genre un dosseret de selle ou un saute-vent en plus, mais elles confèrent à créer deux modèles de Rocket bien distincts.
Points esthétiques communs : la ligne générale est longue, mais l’ensemble possède une allure racée et puissante - le moteur, quant à lui, semble déborder de partout.
L’équipement est qualitatif et pléthorique (comme par exemple les freins Brembo Stylema de série pour arrêter ce colosse, le tableau de bord à écran TFT, mais un shifter up&down optionnel…) et le niveau de finition est juste hallucinant : le diable est dans les moindres détails, comme dans ce repose-pied parfaitement intégré à la ligne et qui se déplie en trois parties. Ou alors dans ces petits logos au niveau des phares, le superbe capuchon de réservoir ou les autres pièces en aluminium brossé intégrées ici et là.
En parlant de Diable, il en est un qui est la cible toute désignée de notre sulfureuse Rocket. Suivez mon regard…