Essai publié le 01 novembre 2018

Essai Harley-Davidson FXDR 114 – Le power cruiser sauce Big Mac

Texte de Mathias / Photo(s) de Mathias Deshusses

Une Harley-Davidson sur un circuit de vitesse. Improbable. Pourtant, c’est ainsi que nous la présente la firme de Milwaukee. Une Harley puissante, équilibrée, mais surtout sportive. Etonnant. Chez Acidmoto, on ne fait pas les choses à moitié. Logique. On a donc voulu tester – pleinement – ses capacités.

Puisque nous n’avons pas eu l’honneur d’être conviés la présentation de presse, nous avons demandé à Harley-Davidson Suisse de nous fournir un modèle de démonstration pour un essai de quelques jours. C’est ainsi que je me retrouve avec une FXDR 114 flambant neuve, dans le coloris mat « Rawhide Denim ». Et quand je dis neuve, ce n’est pas une expression, car le compteur indique à peine une centaine de kilomètres. Rodage à faire. Pas l’idéal pour jauger le caractère entier du moteur, mais il faudra faire avec. Je vais traiter avec douceur le gros twin américain, c’est promis.

Avec une vidéo de présentation pareille, comment ne pas avoir envie de tester la moto à fond ? Ce n’est pas tous les jours qu’Harley-Davidson met en scène sa dernière nouveauté sur une piste ! Ainsi donc, ce serait la Harley la plus sportive, agile et performante jamais produite ? Provocation ou révolution ? Hypersport ou hipster sport ? C’est ce qu’on va voir !

Au programme, il y aura donc de la route, plusieurs essayeurs afin de recueillir différents avis, et surtout une session sur le circuit de Vaison-Piste avec les AcidTracks, qui terminent leur saison de roulage justement le week-end suivant. Sauf que. Avec un déluge, de la Suisse à la Saône-et-Loire, pile ce jour-là, le plus petit rayon de soleil n’avait aucune chance de percer. Le but n’étant pas de se taper 400km de petites routes humides pour arriver ensuite sur un circuit détrempé, le test sur piste tombera finalement à l’eau. Jeu de mot facile s’il en est. Tant pis, ce n’est que partie remise. Rendez-vous dès 2019 pour jauger plus sérieusement ses capacités sportives sur l’une des nombreuses sorties des Tracks. Et pourquoi pas, même, pour un petit comparo avec une certaine concurrente italienne, qui m’avait tant marqué ? Wait and see…

En attendant, c’est donc un essai plus « classique » qui se profile. Et profitons donc de l’occasion pour partir à la rencontre de motards passionnés, afin de leur faire tester le monstre de métal et de recueillir leur avis. Enfin, quand je dis « de métal », ce n’est que partiellement vrai, car les pièces plastiques sont nombreuses sur la FXDR, ainsi que l’aluminium, que l’on retrouve notamment au niveau du bras oscillant, des demis guidons et pour la 1ère fois, du bâti de cadre arrière. Tout ceci, bien sûr, dans le but de réduire le poids, qui se stabilise à… 303kg ! Il faut dire que niveau chiffres, la FXDR ne fait pas dans la dentelle. Empattement de 1735mm, roue de 19 pouces à l’avant et pneu de 240mm à l’arrière, on est a priori loin des caractéristiques d’une moto sportive. Mais pour Harley, ce mot ne semble définitivement pas avoir la même connotation que pour le reste du monde.

La moto est là, sagement béquillée, à attendre qu’un pilote vienne lui limer les cale-pieds. Petit tour du propriétaire. Au niveau du look, rien à dire, c’est soigné. Le coloris mat amène un aspect brut tandis que l’ensemble est réhaussé par quelques touches d’un rouge éclatant, presque orangé. Sensible aux traces de doigts, ce type de peinture sied particulièrement bien la FXDR, lui donnant un air crapuleux. Car c’est vraiment de ça qu’on parle. Une moto de bad boy. Longue, basse et trapue, avec sa roue de 19 pouces comme projetée vers l’avant et un angle de chasse de 34°, la FXDR impressionne. Sa place semble en effet plus du côté d’une Shelby GT500 de 1968 que d’une SLS AMG. Sa ligne donne l’impression, plus encore que la Fat Bob, d’un poing fermé prêt à lancer un uppercut.

La finition est vraiment premium. Pour le coup, rien ne dépasse. Des demi-guidons usinés aux jantes gravées au laser, le soin apporté aux détails est partout. Même les pneus d’origine arborent un discret logo HD sur leur flan. Classieux. Le petit compteur est ultra minimaliste, et à défaut d’être lisible, il est complet. Il comprend une jauge à essence, deux trips et un ordinateur de bord pouvant afficher au choix le régime moteur, l’heure ou encore le kilométrage restant avant la panne sèche. A noter que sur l’ensemble des modèles 2018, le témoin de rapport engagé est désormais constamment affiché. En bref, l’ensemble est plutôt brut, et dégage une certaine bestialité. Trois éléments accrochent cependant le regard, et tempèrent mon exaltation. La partie arrière, tout d’abord. A priori, il devrait y avoir de quoi exhiber un arrière train de pur dragster. Mais dans un élan de bienveillance, les ingénieurs ont recouvert la partie allant de la selle au support de plaque d’une immense pièce en plastique ajouré, dans le plus pur style Lego Technic. D’une esthétique pour le moins discutable, j’imagine sans peine que peu de FXDR quitteront les concessions en en étant équipées. D’ailleurs, le modèle d’expo chez Harley-Davidson Geneva en est déjà débarrassé.

S’en suit le pot d’échappement. Lourd, imposant, il est assez disgracieux. Des éléments longs et mats auraient certainement eu plus d’impact. Le but sur une telle moto n’est pas que le silencieux soit le plus petit possible, mais pour le coup, il est vraiment trop présent. Au-dessus, enfin, se trouve la fameuse boite-à-air. Je suis extrêmement mitigé en ce qui concerne cette proéminence. Autant cela fait partie de la moto, et contribue clairement au look façon « Hot Rod » de la bête, autant je ne comprends pas qu’il soit… en plastique ! C’est une des premières choses que l’on remarque, c’est même la signature visuelle de la moto, et l’impression dégagée par cette longue pièce en simple plastique brut est celle d’une finition au rabais, alors que son niveau global est très relevé. Peut-être y’a-t-il des impératifs techniques (résistance, torsion, chaleur ?) à la présence de matière plastique sur cette pièce, mais si le seul but était de gagner du poids, je pense que les ingénieurs américains auraient dû aller chercher ailleurs les grammes à grapiller. Avec un poids total de 303kg en ordre de marche, il me semble qu’on était plus à cela près.

303kg. L’idée d’avoir enfin une Harley sportive est définitivement pulvérisée. Mais laissons-lui une chance. On a tous connu des motos « lourdes », qui s’avèrent finalement très équilibrées. Espérons que la FXDR 114 soit de celles-ci. Je prends donc place sur la moto. De prime abord, la selle monoplace semble relativement confortable, et devrait permettre à mon séant d’encaisser les franches accélérations du big twin en toute sécurité. En tout cas, il y a de la place à bord pour un grand gabarit tel que le mien. La position de conduite est en revanche un peu déroutante. Déjà, il faut compter avec la prise d’air latérale, qui vous écartera délicatement la jambe droite à 40° d’angle environ. Sensation assez spéciale, d’autant que la position du guidon et des cale-pieds implique d’avoir les membres projetés sur l’avant, avec les mains parfaitement à l’aplomb des pieds.  Ça va être difficile de mettre du gros gaz dans cette position pour le moins inhabituelle.

Une pression sur le démarreur, et là…. magie ! Moi qui souligne dans chaque essai de Harley-Davidson la timidité de l’échappement, obligeant systématiquement à passer par la case Stage 1, je suis ici ravi. La FXDR excelle dans ce registre. Non seulement le couple moteur-échappement produit un son parfaitement rauque et sourd au ralenti, mais l’aspiration due au filtre à air protubérant est simplement magique. Il crée un bruit d’admission digne d’un hotrod et donne envie d’ouvrir en grand pour en profiter généreusement. Cet équilibre est parfait et le 2-en-1, couplé à l’impressionnante prise d’air, dégage ce qu’il faut de virilité pour le pilote, sans casser les oreilles du voisinage. Le silencieux, imposant, sera peut-être remplacé pour des questions de look, mais sur ce coup, bravo aux ingénieurs de Milwaukee, qui méritent un 10/10 pour avoir su mettre en éveil l’ensemble des sens du pilote, et les sensations de conduite enfin au diapason des performances de la moto.

Car sans être sportive, la FXDR envoie du lourd. Impossible, au vu de sa fiche technique, de se douter des capacités routières de la bête. De franchement plaisante sur les petites routes, elle devient démoniaque si on tente de la brusquer. En mode balade, elle se laisse emmener assez facilement et ne demande que peu d’effort pour la balancer au fil des courbes. Tout juste faut-il s’habituer à ne pas pouvoir serrer complétement le réservoir entre ses jambes, celle de droite en restant désespérément éloignée, collée à la prise d’air. Un peu déstabilisant de prime abord, surtout lorsque qu’il s’agit de jouer des appuis sur le réservoir pour faire virvolter la moto d’un virage à l’autre. Mais une fois le mode d’emploi assimilé, et malgré la position de conduite tendue, on prend un plaisir fou à jouer avec le gros élastique présent entre nos jambes et à se faire propulser d’une épingle à l’autre. Finalement, cette moto, décrite comme un « Power cruiser, n’a jamais été aussi bien porté son nom. Ça déménage. Ce Milwaukee Eight est une franche réussite. Il m’avait déjà convaincu sur la Fat Bob, il enfonce le clou sur la FXDR. Et avec force ! Ce bloc est un concentré d’énergie pure. Dément. Jouissif. A son guidon, les sensations sont bien présentes, le moteur tracte fort dès les plus régime. La maniabilité est étonnante et seul l’inconfort de la selle peut pousser à faire des pauses régulières. L’occasion de faire le plein d’essence et de constater une consommation maitrisée de 5,5l/100 en moyenne. Soit une autonomie proche de 300km. Pas mal pour un moulin de presque 1,9l de cylindrée. 

Clairement, la FXDR divise. Lorsque les premières images sont sorties, les avis étaient mitigés. Look bestial pour certains, hérésie pour d’autres. Elle casse les codes du custom et semble prendre des risques. Mais à vrai dire, on a souvent entendu les aficionados de la marque américaine hurler au scandale lorsque le constructeur osait s’aventurer un tant soit peu en dehors des sentiers battus. Déjà en 2001, lors de la sortie de la désormais mythique V-Rod, les puristes s’étaient élevés contre ce moteur à refroidissement liquide, un sacrilège, à les entendre. Et bien ils n’ont pas fini de s’énerver, vu la direction que la firme de Milwaulkee a décidé de prendre pour assurer son avenir.

La réalité, c’est que pendant toute la durée de l’essai, tous ceux qui se sont relayés à son guidon ont été approchés par des motards ou des passants. Tous étaient curieux à la vue de l’engin, et leurs réactions étaient plutôt enthousiastes. Peut-on en conclure que les critiques les plus virulentes se font derrière un écran, et le plus souvent sans avoir réellement vu la moto ? Allez la voir, essayez-là… et on en reparle. D’autres étaient sceptiques, à commencer par  Jimmy. Notre licorne pistarde a revêtu son plus beau cuir (jaune fluo) pour tenter de repousser les limites de la bête. Sur route, bien sûr, difficile de poser le genou sans se mettre en danger. Mais il en est ressorti tout émoustillé. « Pas mal, dis donc ! », m’a-t-il lâché. « Je suis agréablement surpris. C’est chouette d’avoir enfin un vrai train avant sur une Harley. Le feeling est excellent malgré la position. Le châssis, s’il n’est pas à proprement parler sportif, se comporte vraiment bien. La moto est impressionnante d’agilité et le freinage très correct. En fait, elle est hyper saine, je crois que c’est le plus important à relever. Par contre, je crois qu’elle n’a pas l’antipatinage, hein ? » En effet, Jimmy. Quand la moto n’avance pas et que tu sens une forte odeur de caoutchouc brûlé, c’est que le pneu arrière patine « un peu ».

Laurent, 44 ans, qui possède (entre autres) une FXSTC de ’95 et une Buell XB12S, a été l’un de nos rouleurs sur cet essai, et émet un avis plus critique. « Le look plait, ou ne plait pas, mais l’esthétique ne laisse personne indifférent. Je trouve dommage qu’il y aie autant de plastique, au niveau de la prise d’air et du sabot moteur notamment.  L’instrumentation est basique et l’équipement spartiate, c’est dépouillé, certes, mais à l’extrême.

Globalement… ils prétendent avoir conçu la plus sportive des Harley, mais il faudrait peut-être leur demander ce qu’ils entendent par la dénomination de « moto sportive » car il se peut que quelque chose leur échappe. Cependant, c’est vrai que de mon expérience sur Harley, je n’ai jamais mis autant d’angle sur une américaine sans entendre de pièce frotter. A la mise sur angle justement, le pneu ne bronche absolument pas, et ce malgré la cavalerie qui arrive d’un bloc en quelques tours-minutes. Le son est assez étouffé, mais tout de même assez présent pour se faire repérer et très agréable quand on ouvre en grand. La grosse, énorme, outrageante, boite à air y est, sans doute, pour quelque chose. Le confort global fait de la FXDR une Harley « solo », qui offre un rayon d’action correct avant l’apparition de douleurs. Malgré son poids, elle reste très maniable à basse vitesse et stable en allure soutenue et le freinage est puissant et très dosable.

En zone urbaine, je n’ai par contre pas apprécié la sensibilité de la poignée de gaz. C’est en fait le vrai gros défaut que j’ai trouvé à cette moto. Le dosage est délicat, d’autant plus avec 160Nm de couple et l’absence d’antipatinage. Le gros point positif est le moteur, avec cette puissance ressentie qui est très exaltante, dans une sonorité d’aspiration envoûtante.

Reste qu’à ce prix, et bien que cette moto soit destinée un achat compulsif et fatalement déraisonnable, on devrait en avoir un peu plus pour son argent. A ce niveau de tarifs, la concurrence se nomme X-Diavel S ou même V-Max, et la finition comme l'équipement sont d’un autre niveau. »

Autre utilisateur, plus modéré cette fois. Didier, 28 ans, fidèle d’AcidMoto.ch depuis toujours qui roule actuellement en Triumph Street Triple R. Il nous donne son avis sur la FXDR, qu’il a eu la chance de tester sur de petites routes de montagnes. « La moto est étonnante d’agilité. En la voyant, on pense que ça va être un bateau, et puis non. Du coup, on enchaine les virages sans arrière-pensée, jusqu’au raclement des repose-pieds. La garde au sol, même si elle est limitée, reste impressionnante pour une Harley-Davidson. Et ce moteur, c’est une usine à sensations. Il a une patate monstre ! Franchement, j’ai pris mon pied avec. La sonorité est extra, il y a juste la position bizarre, mais on s’y fait. En tout cas, après 250km de petites routes, je ne ressens pas la moindre fatigue. Après, visuellement… il y a quelques trucs à épurer sur l’arrière, et les clignos sont vraiment trop gros à mon sens, mais ça, c’est une affaire de goûts. Ah, et j’ai eu un petit souci avec le bouton des phares. A chaque grosse secousse, il sautait et retombait en code. Sympa de nuit sur des routes de campagne. Mais globalement, c’est une bonne surprise ».

Une bonne surprise, voilà ce qui résume parfaitement cette FXDR. Les avis que l’on peut lire sur le web sont aussi tranchés que la ligne de la moto, et le débat sur ce que doit représenter une marque centenaire aussi emblématique Harley-Davidson est, et sera, toujours aussi virulent. Mais si on regarde les caractéristiques intrinsèques de la moto, on se rend compte qu’on a une moto longe, basse, avec un pneu de 240mm à l’arrière, une roue de 19 pouces à l’avant et un gros V-twin de 1868cm3 au milieu. Quelque que soit l’habillage, quel que soit l’image renvoyée, forcément différente selon notre vécu, cela reste une Harley-Davidson, au caractère furieux et à la ligne virile. Gageons que dans quelques années, elle sera une référence aussi forte que la V-Rod l’est devenue.

Un grand merci au Garage Dethurens, à Laconnex, pour la mise à disposition de la Shelby GT500 et de la Pontiac GTO pour les photos statiques.

Mathias

Au final...

On a aimé :
+
Moteur
+
Sonorité
+
Partie-cycle ultra saine
On a moins aimé :
-
Pas d'antipatinage
-
Trop de plastique
-
Equipement limité
AcidTracks 2019 - Organisation de sorties pistes

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Au final...

On a aimé :
+
Moteur
+
Sonorité
+
Partie-cycle ultra saine
On a moins aimé :
-
Pas d'antipatinage
-
Trop de plastique
-
Equipement limité

Fiche technique

Véhicule
Marque :
Harley-Davidson
Modèle :
FXDR 114
Année :
2019
Catégorie :
Cruiser
Moteur
Type :
Bicylindre en V 4-temps "Milwaulkee-Eight® 114
Cylindrée :
1868 cm3
Performances
Puissance max. :
91 ch à 4500 tr/min
Couple max. :
160 Nm à 3500 tr/min
Transmission
Boîte :
6 rapports
Partie cycle
Pneu AV :
120/70ZR-19
Pneu AR :
240/40R-18
Freinage
ABS :
Oui
Dimensions
Longueur :
2452 mm
Empattement :
1735 mm
Hauteur de selle :
720 mm
Poids à sec :
289 kg
Poids total :
303 kg
Réservoir :
16,7 litres
Coloris disponibles
Coloris :
Vivid Black
 
Black Denim
 
Industrial Gray Denim
 
Wicked Red Denim
 
Bonneville Salt Denim
 
Rawhide Denim
Catalogue
Prix de vente :
CHF 23'900.-
+ 400.- (couleur)
En ligne :

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