Essai publié le 02 mars 2017

Essai GSX-R 1000 2017 - Suzuki amène des chevaux à son moulin

Texte de Marc / Photo(s) de Rui Jorge

C’est par elle que tout est arrivé, c’est elle qui a révolutionné le monde des sportives en 1985 lors de la sortie de la GSX-R750, alors la présentation d’un nouveau modèle sportif chez Suzuki avec une sérieuse mise à jour au niveau de l’électronique et du moteur promet d’être un grand moment.

Cette présentation de la GSX-R1000, dans sa version 1000A, a lieu sur le tracé d’Estoril au Portugal, tracé qui a vu en 2006 une fabuleuse passe d’arme entre Rossi et Elias où ce dernier a soufflé la victoire au Doctor sur la ligne d’arrivée pour un rien. Prendre contact ici avec Madame GSX-R1000A ajoute encore au frisson de la nouveauté.

Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos chevaux. Ces dernières années ont été longues d’attente pour les fans de sportives chez Suzuki. Face à l’adversité la GSX-R était en manque cruel de chevaux et d’électronique. Bien que cela ne tienne qu’à quelques lignes de codes dans des puces pour ce dernier point, cela fait aujourd'hui toute la différence quand il s’agit de signer un chèque pour acquérir sa belle.

En effet, la dernière mise à jours de la sportive d’Hamamatsu datait de 2012, avec de nouvelles suspensions et de nouveaux freins, mais elle était basée sur la mouture qui elle datait de 2009. Soit il y a 8 ans ! Un bail dans le monde des sportives en constantes évolutions et qui a vu débarquer en force les constructeur européens.

Alors les prières des aficionados de Suzuki seront-elles entendues ? En tout cas sur le papier la belle promet des merveilles avec de sérieuses évolutions et se met à la page de la concurrence avec deux modèles : une GSX-R1000A de base pour ceux qui roulent principalement sur la route et font de temps à autres de la piste et une GSX-R1000R plus orientées piste avec des suspensions haut de gamme de chez Showa ainsi qu’un blipper, soit un shifter up and down ou encore un launch control.

Les ingénieurs Suzuki ne se sont pas endormi durant cette longue latence et ont sérieusement bossé pour revenir en terme de puissance face à la concurrence. Le moteur a été au coeur de toutes les attentions et a été revu pour être plus petit, plus léger et plus puissant tout en restant utilisable. L’alésage passe ainsi de 74,5mm à 76mm pendant que la course elle passe de 57,2 à 55,1mm De quoi favoriser les hauts régimes donc la puissance. Le tout est accompagné d’un taux de compression passant de 12,9:1 à 13,2:1, ça comprime sévère pour un moteur d’origine.

Mais le plus ingénieux se trouve dans la tête non pas des ingénieurs mais du moteur qui se voit doté d’un système de distribution variable, système qui utilise 12 billes en acier qui sous l’effet de la force centrifuge font varier le temps d’admission, favorisant ainsi le remplissage à bas régime et la puissance à hauts régimes. Ingénieux ! Enfin, il est à noter que les soupapes ne sont plus actionnées via des godets mais via des linguets ce qui permet de prendre plus de tours minute. La puissance annoncée par Suzuki est de 202cv… si c’est le cas ça va dépoter sévère !

Avec cela, on voit que la GSX-R est capable de prendre des tours, maintenant il faut penser à remplir ce moulin. C’est pourquoi les cornets d’admission des cylindres 1 et 4 ont deux étages et ils fonctionnent du coup comme des cornets à longueur variable mais sans tout le fourbi pour modifier leur hauteur. Le diamètre de l’admission passe en même temps de 44mm à 46mm et est 19mm plus court, ce qui a permit d’abaisser la hauteur du réservoir de 21mm, gage de place pour y caler le casque derrière la bulle dans la ligne droite.

Dans les autres petits changements qui méritent notre attention, on voit un stator plus léger, un angle des cylindres ramené de 6 degrés. Le moteur est donc 6,6mm plus étroit et 22,2mm plus court et il se passe d’arbre d’équilibrage.

Ce moteur plus petit a permit aux ingénieurs de le placer à leur guise dans le châssis tout en revoyant les cotes de ce dernier. Ainsi, bien que l’empattement n’ait pas drastiquement changé avec ses 1’420mm, la distance entre l’axe de l’essieu avant et le pivot du bras oscillant est 20mm plus court pendant que la distance entre le même pivot du bras oscillant et l’axe de l’essieu arrière est 40mm plus long. Cela doit amener de la stabilité à la machine ainsi que permettre de mieux passer la puissance sur la route grâce au bras oscillant plus long qui permet à la suspension de mieux travailler et de « digérer » la puissance disponible. Toujours au sujet du bras oscillant, il  se voit maintenant renforcé des deux côtés pour une meilleure rigidité.

Le cadre est constitué de deux longerons en aluminium et est 20mm plus étroit que l’ancien à son point le plus large et 60mm plus large au niveau du support arrière du moteur cela dans le but, selon Suzuki, de réduire les vibrations du moteur qui rappelons-le, se passe de balancier d’équilibrage. Ce n’est pas moins de 10% de poids qui ont été gagnés sur le châssis.

A l’avant, on trouve des disques Brembo en lieu et place des traditionnels Sunstar. Ils sont pincés par des étriers radiaux monoblocs à 4 pistons. La pression y est envoyée via un maître-cylindre radial et… des durits en caoutchouc. Cela reste un mystère et bien que cela suffise pour la route, je ne comprend pas qu’aujourd’hui les ingénieurs s’évertuent à doter leur sportives d’un tel matériel qui souffrira lors d’un usage intense ou avec le temps.

Pour la suspension, c’est là que se trouve les principales différences entre le modèle A et R de la Gex. Le modèle standard étant doté d’une fourche Showa Big Piston pendant que la R reçoit les versions de la même marque Balance Free, dont la fourche à réservoir de pression séparé.

Pour son grand saut dans l’ère du numérique la Gex n’a pas fait les choses à moitié et se dote d’un IMU qui gère les 6 axes, de 3 modes moteur et d’un traction control qui va de 1, le moins intrusif, à 10 qui est le mode pluie.

L’électronique de la version R, plus axée piste, se voit adjoindre un launch control ainsi que le fameux blipper qui permet de monter et descendre les rapports sans avoir recours à la poignée d’embrayage (mais je reviendrais sur ce sujet en fin d’article, les clients suisses étant gâtés). C’est un gain de temps notable et surtout l’équilibre de la moto se voit moins perturbé lors des phases de pilotage. Sur la R toujours, l’ABS est paramétrable pour une utilisation piste.

A la vue des premières photos beaucoup se sont exclamés en disant que c’était la même que l’ancienne, mais je trouve qu’en la regardant de près, il y a énormément de changement, tout d’abord la Gex a subi une sérieuse réduction de taille, elle s’habille désormais en 34 ! Et je trouve également qu’en gardant les mêmes lignes, elle garde son identité et est reconnaissable immédiatement, ce qui est une force quand on veut reconquérir son trône de numéro 1 chez les sportives.

Le phare avant à LED garde le même dessin depuis la K3 et en étant plus petit il gagne en agressivité. Enfin, sur la version R les feux de position situés juste au-dessus des prises d’air, adoptent également cette technologie à LED.

Le large écran de l’ordinateur de bord vous donne accès à toutes les informations que vous pourriez désirer et est facilement manipulable via un bouton de navigation situé sur le commodo gauche, notamment pour très facilement sélectionner les modes de conduite, de A à C, A étant le plus agressif, et le traction control. Cela m’a permit de constater que nos GSX-R1000 étaient vraiment tout juste sortie de caisse, la mienne totalisant moins de 200 kilomètres.

Et maintenant gaaaaz !

Bon le circuit d’Estoril nous ouvre grand ses bras, il faut y aller ! Bon, autant vous le dire toute de suite, nos Gex étaient équipées de la monte pneumatique d’origine qui est plus axée route que piste et sur cette dernière il y avait encore de belles plaques d’humidité, la réputation de ce circuit est de ne jamais sécher et elle est vraie. Il va donc falloir apprendre les courbes et en même temps géolocaliser les plaques plus sombres afin de ne pas chiffonner la Suz après deux courbes.

Sous la conduite de Marc Fissette, j’essaie d’apprendre le tracé, (presque) calmement sur les deux  premiers tours, car nous n’avions pas de couverture chauffante.
La GSX-R1000 met tout de suite en avant son argument majeur : son moteur. Ce dernier est le plus plein que j’ai jamais roulé, il reprend avec force dès 6’000tr/mn et grimpe en hurlant jusqu'à la zone rouge. Imaginez un peu la plage de régime utilisable ! Plus de 8’000tr/mn où ça dépote sévère.

Malheureusement dès la 2ème session, la monte pneumatique avouera ses limites quand il s’agit de taper dans le châssis, ces derniers limitant trop le grip. En sortie de courbe le traction clignote dès que j’ouvre la poignée des gaz et un mouvement est retransmis à l’avant.

Après en avoir discuté avec le mécano, ce dernier apportera une modification sur le réglage de la fourche et la Gex sera transformée notamment sur les entrées de courbes où elle rejoindra beaucoup plus facilement la corde et la tiendra tout le long du virage. Mais encore là, selon les virages je dois rester très attentif aux plaques présentes sur la trajectoire, le moindre passage dessus se soldant par une belle glisse. Cela démontre une fois de plus que les suspensions d’origine sur les sportives d’aujourd’hui sont très efficaces car développées pour chaque modèle et que le moindre changement sur les réglages a une incidence. Seul bémol, il faudrait presque un mécano à disposition lors des roulages.

Le tracé d’Estoril a deux spécificité, la première est une sorte de Corkscrew à l’envers qui, si mes souvenirs sont bons, était le virage le plus lent du calendrier MotoGP. Genre de virage idéal pour tester la maniabilité d’une machine quand il s’agit de la balancer d’une angle à l’autre. Et là, aucun souci avec la Suz, elle se balance très facilement en demandant un minium d’effort et quand il faut réaccélérer en sortie de ce virage lent, là encore la disponibilité du 4 cylindres en ligne fait merveille, on voit juste la lumière du TC clignoter au tableau de bord, mais le contrôle se fait tout en douceur.

La deuxième spécificité est le long droite en accélération avant la ligne droite des stands. Ce dernier était d’ailleurs bien rempli de belle plaques foncées et ma Gex a fait quelques belles glisses en passant dessus, le tout entre le 3ème et le 4ème rapport… chaud ! Par contre, elle cela montré la limite de l’amortisseur de direction qui mériterait d’être bien plus ferme, ces glisses en accélération en entrée de ligne droite, quand on ouvre franchement les gaz m’auront gratifiées d’un guidonnage dantesque où il faut garder à l’esprit de ne pas couper les gaz sous peine de voir le phénomène s’amplifier et moi passer mon brevet de vol libre.

A nouveau était-ce dû au pneu ? Personnellement j’en suis persuadé, les Bridgestone d’origine ne sont pas fait pour subir les contraintes que peut leur infliger la GSX-R sur circuit tant cette dernière démontre un potentiel élevé.

D’ailleurs avec son moteur qui souffle la ligne droite est avalée à fond de 6 et je peux vous dire qu’on arrive très vite sur le freinage au bout où il faut tomber 4 rapports pour prendre un droite en 2ème avec un sympathique commissaire de piste qui me motivait à chaque tour en secouant les bras en même temps qu’il brandissait un drapeau attention changement d’adhérence…

La puissance de freinage offerte par la machine d’Hamamatsu est impressionnante, celle-ci restant assez stable aux freins et bien qu’il y ait de temps en temps du mouvement, celui-ci reste très sain. Mais, car il y a un mais, après quelques tours je pesterais contre les durites caoutchouc, le levier perdant un peu de sa garde sous l’effort et l’échauffement des fluides. Des durites aviation ne coutent pas si chère, surtout quand on est un constructeur comme Suzuki et que le volume espéré de moto se compte avec 4 chiffres et est donc loin de la petite série.

Pour ce qui est de l’ergonomie, il est aisé de trouver sa place à bord de la Suz, du moins pour un pilote de ma taille. Je n’ai eu aucun souci pour caser mon mètre septante deux à bord. La selle est très agréable et permet de se dépailler autant en avant ou en arrière que sur les cotés. Les reposes-pieds vont parfaitement pour une utilisation route ou lors de roulage pour des tracks days comme eux organisés par votre canard en ligne (où il sera possible d'essayer cette GSX-R). Leur grip est d’ailleurs excellent, à aucun moment je n’aurais perdu un cale-pied (ou si vous préférez l’appui de ma botte sur celui-ci lors de nos sessions.

Mais revenons à nos moutons, vu qu’on a vu que les gommes peinaient à encaisser les 200cv, qui sont bien là, et la contrainte liée à une utilisation circuit, pour le dernier roulage de la journée j’ai décidé de me concentrer plus sur mes gestes à bord et à rouler propre plutôt qu’à vouloir claquer une pendule. Du coup, la Gex s’est bien mieux laissée amener au point de corde et en essorant moins la poignée comme un goret, le pneu digère l’accélération et du coup l’amortisseur travaille mieux.

L’échappement a un design des plus discutables et il fera certainement le bonheur des vendeurs de produits after-market, mais ce qu’il y a de merveilleux avec cette version 2017 de la GSX-R c’est qu’elle a gardé son âme et son bruit ! Rien qu’à l’entendre passer dans la ligne droite on sait qu’on a à faire à une Gex et à bord la symphonie est des plus sympathique avec un bruit d’admission qui accompagne les montées en régimes.

Conclusion :

De nos jours la capacité d’une moto sortie de caisse est impressionnante et bien que je regrette de ne pas avoir eu les bons pneus pour pouvoir lui rentrer un peu plus dedans, la GSX-R1000 2017 ma démontrer des aptitudes qui une fois bien chaussée dépasseront largement les miennes. Pour moi, il suffirait de la chausser de Pirelli WSBK et un pilote de cette classe la qualifierait aisément pour une manche du mondial. Et cela avec les rétroviseurs et tout l’accastillage routier.

Après, n’ayant pu tester la R, qui sera vraiment plus réservée à un usage circuit, nous avons eu une excellente nouvelle pour les futurs clients du marché suisse. Si vous signez le chèque de CHF 18’595.- pour une GSX-R1000A, qui sera disponible début avril, l’importateur vous offrira le blipper lorsque la GSX-R1000R sortira sur le marché à la deuxième moitié du mois de mai elle contre la somme de CHF 21’295.-.

Ainsi équipée, la nouvelle Gex sera à même de satisfaire la majorité des fans de la marque et elle entend ajouter encore de nombreuses couronnes, notamment aux 12 titres conquis en 15 ans en Endurance.

Marcouille

Au final...

On a aimé :
+
Le moteur qui watte de 6'000tr/mn à 14'000tr/mn
+
L'efficacité générale et le potentiel
+
L'agilité
On a moins aimé :
-
Les durites caoutchouc
-
Ne pas avoir pu l'essayer avec des pneus piste
-
L'amortisseur de direction en usage intense
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Au final...

On a aimé :
+
Le moteur qui watte de 6'000tr/mn à 14'000tr/mn
+
L'efficacité générale et le potentiel
+
L'agilité
On a moins aimé :
-
Les durites caoutchouc
-
Ne pas avoir pu l'essayer avec des pneus piste
-
L'amortisseur de direction en usage intense

Fiche technique

Véhicule
Marque :
Suzuki
Modèle :
GSX-R1000A (entre parenthèse GSX-R1000R)
Année :
2017
Catégorie :
Supersport
Moteur
Type :
4 cylindres en ligne, 4 temps, double ACT, 16 soupapes à distribution variable
Cylindrée :
999,8 cm3
Refroidissement :
Liquide
Alimentation :
Injection électronique, boîtier IMU et Ride by wire
Performances
Puissance max. :
202 ch à 13'200 tr/min
Couple max. :
117 Nm à 10'800 tr/min
Transmission
Finale :
Par chaîne
Boîte :
6 rapports
Embrayage :
Multidisque à bain d'huile, antidribble (+shifter up & down)
Partie cycle
Châssis :
Double poutre en aluminium
Suspension AV :
Fourche inversée Showa BPF, entièrement réglable (chambre de compression séparée)
Suspension AR :
Showa Back-Link à gaz BFRC entièrement réglable (Balance Free Light)
Pneu AV :
120/70 ZR 17
Pneu AR :
190/55 ZR 17
Freinage
ABS :
Oui
Frein AV :
Double disques semi-flottants de 320mm, étriers Brembo radiaux monobloc à 4 pistons
Frein AR :
Simple disque de 220mm, étrier Nissin à simple piston
Dimensions
Longueur :
2'075 mm
Empattement :
1'410 mm
Largeur :
710 mm
Hauteur de selle :
825 mm
Poids total :
202 kg
Réservoir :
16 litres
Coloris disponibles
Coloris :
Bleu
 
Noir
 
Rouge (que la standard)
Catalogue
Prix de vente :
CHF 18'595.-
Version R CHF 21'295.-
En ligne :

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