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Le premier changement notable est l’introduction du KTRC sur les deux machines. Il s’agit du Kawasaki Traction Control qui est en plus réglable sur 2 niveaux, apportant un argument rassurant pour les pilotes qui choisiraient ce modèle comme leur première machine.
Au travers de l’instrument de bord TFT, le conducteur a le niveau 1 moins intrusif que le 2 à disposition mais peut aussi désactiver cette aide si les conditions s’y prêtent. Cet écran a également l’avantage d’offrir la connectivité Bluetooth avec l’application Rideology.
La LED arrive en force
Pour moderniser la Kawasaki Z 650 et la Ninja 650 au premier coup œil, l’ensemble des clignotants passent aux LED, tout comme les feux avant et arrière. Autre nouveauté plus discrète : l’abandon de la clé longue et pointue pour une clé plate qui ne troue pas les poche de jean.
Voici les nouvelles couleurs qui arriveront prochainement :
Kawasaki Z 650 2023 (disponible octobre 2022)
- Noir Metallic Spark / Noir Metallic Flat Spark
- Argent Metallic Phantom / Gris Metallic Carbon
- Gris Metallic Matte Graphenesteel /Noir Ebony
Kawasaki Ninja 650 2023 (disponible janvier 2023)
- Gris Metallic Matte Graphenesteel / Noir Ebony
- Vert Lime Green / Noir Ebony
Où en est l’hybridation ?
La marque japonaise communiquait sur ses projets de motos hybrides et électrique et à l’occasion des 8H de Suzuka, un prototype roulant de Ninja 650 Hybride et un second 100% électrique ont été présentés pour la première fois au public. Aucun communiqué officiel n’est sorti à ce sujet, il fallait être sur place pour en apprendre un peu plus. Voici une synthèse des informations glanées sur divers site comme le nôtre.
Le projet hybride semble plus proche de l’industrialisation et plus performant que la version électrique. Le moteur serait celui de 400 cm3 reconnaissable aux carters. La fourche et les freins semblent empruntés à la 650, logique s’il faut être dimensionné pour une puissance cumulée semblable. La batterie se cacherait dans la boucle arrière tandis que le second moteur se loge au-dessus de la boite de vitesse. Point de sélecteur de vitesse ni d’embrayage, on commande la boite par des boutons +/-. Plus facile de commander la transition entre thermique et électrique si l’embrayage est géré par la moto.
L’électrique est plus en phase avec le reste du marché : point de boite de vitesse ni de gros bloc batterie. On se dirige davantage vers un modèle avec des performances de 125, avec un bloc batterie interchangeable. Un package réaliste pour mettre un premier pied dans le monde de la moto électrique.
Il faudra être patient avant de voir l’un de ces modèles être commercialisé !
