Cette façon de se montrer aussi facile que si on la connaissant depuis 10 ans, cette « douceur » dans la façon de délivrer la puissance moteur, cet art de donner ce dont il a besoin au pilote, selon ses désirs. Qu’un constructeur parvienne à faire ressentir sa philosophie à travers deux types de véhicule m’inspire un grand respect et surtout une certitude : qu’importe le nombre de roues, si on veut s’amuser, il suffit d’un moteur.
Mais j’avoue, quand-même, que je n’ai pas été aussi joyeux durant ces deux journées que pendant la poignée de tours passés au guidon de la CBR, sur un petit circuit, sous quelques gouttes de pluie. Chacun son truc !