Ce sympathique motard s'est donc fait flasher à 85 reprises par le même radar situé sur l'A7. Il faut dire que ce dernier flashant de face, le motard se sentait "à l'abri" et faisait même de petit signe pour la photo, mais jamais de doigt d'honneur selon son avocat !
Comme la photo était de face, le motard pensait échapper à son identification, mais voilà, la police n'a pas lâché l'affaire et a réussi à l'identifier grâce à son badge de télépéage dont les horaires de passage correspondaient parfaitement aux photos. De plus, il possédait la bonne moto et portait le bon casque.
Mais pourquoi a-t-il été relaxé ? Son avocat a tout simplement découvert un double vice de forme, à savoir que ses 85 infractions portaient le même numéro de procès-verbal et que le centre automatisé des infractions routières a fait appel à la gendarmerie sans passer par le tribunal…
En voilà un qui a dû être content de payer ses frais d'avocat !